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DIFFUSION HUMENSIS
170 bis Boulevard du Montparnasse 75014 Paris
Tél : 01 55 42 72 10.
DISTRIBUTION UNION-DISTRIBUTION Flammarion

Traits pour traits

Jean Denis Phillipe ; Georges Sand

Collection : Art Beaux livres

ISBN 2-909550-41-9
code Humensis 645041
distribution : UD
format :24x32
136 pages
prix 38€
66 dessins couleur

Traits pour Traits met l’accent sur l’actualité politique, sociale et culturelle de George Sand. Des extraits de sa correspondance, de ses écrits autobiographiques ou de ses écrits politiques - de réflexion et de combat - rédigés dans les années 1840, sont confrontés à des dessins de Jean-Denys Phillipe réalisés 150 ans plus tard et publiés dans la presse française.

Chacun peut, selon son humeur, partir des analyses de George Sand pour s’immerger dans notre actualité ou, à partir des dessins d’actualité, retrouver la pensée de l’écrivain afin d’en mieux apprécier la portée. Ce jeu de miroirs confirme l’ampleur historique des propos de George Sand tout comme il apporte une histoire au dessin d’actualité, par définition éphémère, et lui assure une légitimité une fois retombée l’émotion collective qui l’a justifié : « Il faut apprendre l’histoire, il faut étudier les livres, il faut connaître le passé, il faut songer à l’avenir, cela est certain. » (George Sand)

Les œuvres de Jean-Denys Phillipe m’apparaissent dans toute leur complexité talentueuse. Elles expriment la violence de notre monde et de notre société, tout en étant habitées d’une sensibilité extrême et d’une violente douceur. Retour ligne automatique
À la fois caricatures sans complaisance, nous renvoyant à nous-mêmes la douleur de notre mal être et la tendresse suffisante qui nous permet encore de croire Retour ligne automatique
à des jours meilleurs.Retour ligne automatique
Georges Buisson

un exposition accompagne cet ouvrage :

http://www.livreaucentre.fr/articles.php?id_rub=5&id_cat=40&id_article=285

Voir en ligne : http://www.livreaucentre.fr/article...

P.-S.

Je ne suis pas réconcilié avec la société, et le mariage est toujours, selon moi, une des plus barbares institutions qu’elle ait ébauchée. Je ne doute pas qu’il soit aboli, si l’espèce humaine fait quelques progrès vers la justice et la raison : un lien plus humain et non moins sacré remplacera celui-là, et saura assurer l’existence des enfants qui naîtront d’un homme et d’une femme, sans enchaîner la liberté de l’un et de l’autre. (’Jacques’, 1834)

Faut-il vous montrer le peuple disant au pouvoir : du travail ou la mort ! Et le pouvoir répondant qu’il n’assure de travail à personne ? La bourgeoisie accaparant avec fureur la richesse, ruinant la nation par le monopole des capitaux et des grandes industries ? La petite propriété se dévorant elle-même par le morcellement et l’individualisme, le prolétariat succombant sous l’excès de travail, la cherté des denrées de consommation et l’insuffisance des salaires ? (’La politique et le socialisme I’ 1844)

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